Akane Misuzu ;.
Caractère; Optimiste-Mignone-affectueuse-Naïve ?
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« Age : 14 ans
« Métier : Collègienne, actrice.
« Persona : Voleuse
« Habitation : Mayfair
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J’ai bel et bien 14 ans ! Méfiez vous des apparences, je ne suis pas juste une petite fille tout juste sortie du primaire ! Rhaa ! D’abord, je ne suis PAS petite, c’est juste un petit retard de croissance, dans quelques années, je serais assez grande pour entrer dans une équipe de basket. Enfin, quand même pas, je n’aime pas le sport, c’est pas la peine d’essayer de m’y mettre, comment vous voudriez que jeune fille à la constitution si fai… Qu’est-ce que vous me faites dire ?! Et puis, d’abord, je ne suis pas maigre ! C’est pas parce que je suis légère qu’il faut dire ça, je suis tout simplement mince ! Peut-être un peu, beaucoup, mais pas maigre. C’est péjoratif « Maigre » comme mot, vous ne voudriez tous de même pas l’utiliser sur moi ? De quoi ? Que je passe à la suite de mon physique ? Oui, oui, j’y arrive ! Donc, mon visage est incroyablement mignon, surtout quand je fais mon sourire spécial, là, j’arrive souvent à obtenir tout ce que je veux, mais, je fais tout de même attention à ne pas l’utiliser trop souvent, je préférerais éviter que des Lolicon me courent après… Sinon, mes yeux sont d’une couleur plutôt étrange, regardez : rouge, avec une pointe de rose, c’est naturel, ne m’en demandez pas trop, je sais que tous seul ça ferrais lapin albinos, mais, chez moi, avec mes cheveux ça donne très bien, vous n’imagineriez pas que je puisse ressembler à une créature aussi insignifiante qu’un lapin albinos, non ? Avec mes cheveux roses-rouges eux aussi, c’est magnifique. Ma chevelure flamboyante est coupée de façon étrange : sur le devant , ils sont courts, mais, derrière, il y a deux longues mèches qui m’arrivent un peu plus bas que les genoux, et, pour finir, avec deux touffes de cheveux mi-longs, je me fait deux couettes sur les côtés de la tête que j’attache avec des élastiques sur lesquels sont fixés deux petites croix noires. Question peau, mon épiderme et délicieusement uni et clair, quoi que je n’ai pas le teint digne d’une No-life professionnelle. Sous cette peau si veloutée qui est la mienne, coulent des vaisseaux sanguins (heureusement, non ? ) qui ont une fâcheuse tendance à me faire rougir au moindre compliment, ou bien sous le coup des maladies, maladies que j’attire, tout comme les moustiques qui semblent bien aimer plonger leur trompe dans mes bras tendres pour se rassasier avec mon délectable sang…
Dans la rue, vous aurez vite fait de me reconnaître, toujours un sourire au lèvre, je marche vite, voire en sautillant, quoique a dépend des jours, quand je veux bien regarder les alentours ou bien que je suis fatiguée, je marche normalement, plus lentement. Vous reconnaîtrez aussi facilement mes vêtements : à Londres, je porte presque toujours mon uniforme : Un haut beige, une jupe rouge stylisée et un boléro rouge aussi, le tout agrémenté de gros nœud papillons noirs, c’est vraiment très mignon. Bon, abordons donc la question qui fâche : les formes, elles sont dignes de ce que je ne suis pas : une petite tout juste arrivée au collège : hanches peu dessinées, fesses plates et poitrine bien ridicule… Ah, ne me faites pas déprimer…
Par contre, si jamais vous me voyez m’effondrer, c’est sûrement que je fait une crise, oui, malgré mon air joyeux, il se trouve que mon cœur fonctionnent mal, ainsi, je peut me mettre à cracher du sang apparemment sans raison, dans ce cas, j’ai mes médicaments dans ma poche. Mais, même dans ces moments-là, je ne perdrais pas mon sourire, je sais ce qui m’attend, mais, tout va bien, tous ce que je veux c’est vivre encore assez longtemps pour découvrir de nouvelles choses amusantes.
What did you expect? ;.
Dans ma tête ? Mais qu’est-ce tu en a à faire ? tu le verras bien par toi-même par la suite, non ? Quoi ? Je suis obligée ? Ah ! C’est bête… Donc, si je pouvais choisir un adjectif pour essayer de décrire en un mot ma personnalité, ce serais joyeuse. Oui, c’est sûrement mon premier trait de caractère, mais, il ne faut pas croire que tout parte et tout revienne à ça, une personnalité, c’est bien plus complexe, on ne peut pas réellement tout résumer en un seul mot… Donc, on peut voir que je pars souvent dans mes délires, et que j’ai souvent tendance à m’éloigner du sujet de départ, pour votre plus grand malheur, à vous qui devez écouter mes monologues… Et oui, je peut me montrer très énervante, voire carrément chiante, mais c’est comme ça ! On ne peut pas avoir le beurre, l’argent du beurre et la crémière ! Quand on me croise au hasard des rues, on se dit souvent : Ho ! Quelle délicieuse enfant ! Car, je suis souvent très assez polie à première vue, mais il ne faut pas trop se laisser prendre au piège. Après tout, je suis une actrice ! Non pas une actrice de cinémas, mais de théâtre. Une passion que j’ai depuis toute petite, j’ai donc eu le temps de m’habituer à changer de rôle comme de chaussettes, ainsi, je peux passer de la fille renfrognée à celle glaciale en passant par la folle et la bourgeoise, mais, quand je joue ces rôles en dehors d’une scène de théâtre, ça ne dure pas très longtemps, étant donné que je préfère ma réelle personnalité et que je fait ça surtout pour m’amuser et faire tourner les gens en bourrique. Et oui, m’amuser aux dépens des autres est un de mes passe-temps favoris, il paraît que l’on m’a déjà comparé au Cheshire Cat d’Alice au pays des Merveilles, rôle que j’ai déjà joué un jour si je me souviens bien… Ainsi, j’aime poser des devinettes farfelues aux autres et m’amuser de leurs réponses. Je suis la plupart du temps d’un optimiste à tout casser, je pourrais être accrochée à une branche au milieu de l’océan en plein typhon de force 5 que je trouverais toujours de quoi me réjouir… Il faut dire, que je garde tout en moi concernant mes peines et mon secret… Ainsi, je ne me mettrait jamais à pleurer devant quelqu’un, à moins d’avoir une confiance extrême en lui, j’intériorise toutes mes peines, mais il faut parfois que je lâche du lest, ce qui peut être fait grâce au théâtre, avec Euphoria, en allant chanter ou bien, en dernier recours en pleurant…
Je suis à peu près toujours franche, ce que l’on ne peut classer ni dans les défauts, ni dans les qualités, je suis aussi parfois un peu naïve, ce qui contribue au Moe qui semble se dégager de moi, tout comme le fait que je sois parfois assez peureuse, surtout question histoires de fantômes ou situations effrayantes, comme les tests de courage ou les train fantômes…
Bon, je suppose que l’on peut passer à mes goûts, j’aime bien manger, surtout les choses sucrées, les fruits et tout ce qui est épicé, j’aime bien ce qui est bien présenté, il faut dire que je suis assez difficile question nourriture. J’aime aussi tout ce qui est doux, mouelleux et qui sent bon, rire et sourire ainsi que rencontrer des gens nouveaux, car je sait que je ne pourrait pas en connaître beaucoup durant ma courte vie, ainsi, même si j’ai du mal à retenir le visage et le nom de tous le monde, je suis heureuse quand je suis entourée. Ce que je n’aime pas, c’est surtout tous ce qui est inverse à ce que j’aime : Les mets ternes, visqueux et mal présentés, les choses dures, les adieux déchirants… Et que l’on me dise que je suis petite ! C’est juste que j’ai un retard de croissance ! Ma taille est un des seul sujet ou je m’énerve quand on l’aborde, et par malheur, on l’aborde assez souvent, mais il parai que ça me donne un air mignon la colère… Tsss.
Certaines personnes, je le sais, disent derrière mon dos que je suis tout de même assez courageuse, ça n’a rien à voir avec le fait que je soit peureuse, je crois plutôt que les gens qui disent ça on eu vent de mon secret, lourd secret… À cause d’une malformation au cœur, il se trouve qu’il ne me reste plus que 3 ans à vivre tout au plus… Oui, c’est lourd, quand on me demande comment je fait pour sourire en sachant cela, je répond que je ne doit pas vraiment avoir réalisé, réalisé que je mourrais si jeune sans rien pouvoir changer. C’est aussi pour ça que je veux m’amuser, rencontrer d’autres personnes et apprendre toujours plus.
You are not supposed to know... ;.
Une histoire, hein ? La mienne n’est pas si étrange, je n’ai pas été traumatisée étant petite, je n’ai pas eu de parents surprotecteurs, C’est ce que j’essaye de faire croire, car, sans avoir été extraordinaire, mon passé est tout de même peu banal…
Ma mère biologique, je ne l’ai jamais connue, elle a accouché sous X, ainsi, à peine mise au monde, je fut prise en charge par un orphelinat. Je ne connaît donc pas mon père non plus, désolée pour vous, mais l’identité de mes parents biologique reste une énigme, pour moi aussi. J’ai bien déjà essayé de m’imaginer à quoi ils ressemblaient, quelles étaient les raisons qui ont poussée ma mère à me mettre au monde pour m’abandonner, mais, je ne suis pas plus avancée que vous sur la question.
Je passait donc mes premières années dans un orphelinat, enlevez vite de votre tête toutes ces images de lieux crasseux et mal entretenus, là où j’était, tout était bien tenu, sans pour autant être luxueux, je n’ai jamais vu l’ombre d’une statue en or massif dans le parc. Ce fut donc vers l’age de 5 ans qu’un couple d’acteurs m’adopta, la femme était stérile et ils désiraient tous deux un enfant, histoire de ne plus être juste un couple, de devenir une famille et de pouvoir déverser leur trop-plein d’amour sur un enfant. Ces deux-là étaient de renommée internationale, et je baignais donc dans le théâtre très tôt, ce qui est rapidement devenus ma passion. On me faisait jouer des extraits de pièces connues, des pièces pour enfant, tout d’abord en petit comité, puis, je pus jouer des rôles de second plan dans des pièces avec des adultes. Beaucoup disaient qu’ils étaient impressionnés par le zèle que je mettait à toujours essayer de m’améliorer. Nous voyagions beaucoup, visitant toujours plus de nouveaux pays, rencontrant toujours plus de gens de toutes nationalités. Je faisais des cours à distance, grâce à la magie d’Internet et obtenais de bons résultats, sans qu’ils ne soient pour autant spectaculaires. On m’a souvent dit que si je l’avait voulu, j’aurait pu avoir des notes fabuleuses, mais il faut croire que je m’intéressais plus au théâtre qu’aux cybers-cours auxquels j’avait droit. Tant pis, j’étais heureuse comme ça, je jouais, je m’amusais sur scène, j’avais de la présence et c’était tout ce qui m’importait. Je pensais à mon futur et je voyais déjà quelles voies j’allais prendre pour continuer avec ma passion, j’avais tracé ma voie à long terme et j’étais heureuse de savoir ce qui m’attendrait au tournant.
Mais il y eu un virage en épingle à cheveux que je n’ai pas vu. Pendant une longue représentation, j’ai commencé à avoir mal à la poitrine, j’ai essayé de résister, me disant que ça passerait vite, mais, je me suis effondrée sur Scène. The show must go one ! on était à la fin de la pièce et l’on a pu improviser rapidement, car, même si tout le monde s’inquiétait pour moi, des acteurs ne doivent pas interrompre une représentation. Jamais. À la fin, nous ne prîmes même pas le temps de saluer, on m’emmena directement à l’hôpital le plus proche où l’on me fit une IRM qui révéla une malheureuse déformation cardiaque.
« - Vous aurez de la chance si elle reste en vie encore cinq ou six ans, on ne peut malheureusement rien faire pour ce genre de problèmes. »
On me donna ensuite plein de contre-indications : Plus de sport, éviter de courir trop longtemps, et surtout, on stoppe dés maintenant les longes représentations où je devais rester debout durant des heures. Un frein. Un véritable frein à ma passion. Je me retrouvais cantonnée à des rôles faciles où je ne faisais que quelques brèves apparitions çà et là… Quelques crises plus tard, on m’interdit de voyager, Je m’installais donc à Londres avec mes parents adoptifs, mais, par obligation, ils durent reprendre leurs voyages et me laissèrent en Angleterre, ça ne me dérangeait pas plus que ça, il y avait non loin un collège avec une option théâtre réputée qui m’acceptèrent avec joie, malgré mon handicap.
C’était à 12 ans environs que l’on avait annoncé ma maladie, je n’en ai pas pour autant perdu le sourire, je cherche maintenant au contraire à rencontrer le plus de gens possibles, à m’amuser le plus possible, ça ne sert à rien de me renfermer en attendant la mort après tout.
Il y a quoi ? Un an ? J’ai découvert un jeu nommé Euphoria, un véritable monde parallèle où je pouvais vivre sans avoir peur de faire un malaise, là-bas, j’étais libre de faire ce que je voulais, sans avoir peur pour ma santé, et puis, c’est tellement amusant !
Who are you? ;.
« Prénom/Pseudo: Liinwë~
« Age: 13ans
« Comment avez vous connu le forum? Par Charlie
« Suggestion d'amélioration ou autres: Pas vraiment tous compris dans les batailles contre les monstres... Et puis, ce nombre de lignes, ça à tout de même de quoi décourager...
« As-tu quelques chose à ajouter?:[/justify] Nop ! EDIT : Fin' , si ! Notre personna peut-il avoir une apparence semblable à la notre ?
